
Philippe Regnoux, Mohsen El Gharbi, Gaëtan Nadeau et Roch Aubert.
© Photo : Michael Slobodian
Déchiré. Tel apparaît Albert Camus dans L’Énigme Camus : une passion algérienne. Et tel il était, cela ne fait aucun doute.
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« Malgré un début un peu poussif (c’est la difficulté du genre, il faut bien donner des informations au spectateur), le spectacle prend son rythme au fil des récits et des scènes pour aboutir à la reconstitution, réussie, d’une conférence de presse à la suite de la remise du Prix Nobel à Albert Camus en 1957. Finalement, ce spectacle entraine le public là où il se doit, dans la réflexion. Le pire ennemi étant le dogmatisme. »
http://www.revuejeu.org/critiques/louise-vigeant/camus-une-passion-algerienne-nous-voila-interpelles